Conférence de psycho.

Je découvrait l’université, guider par l’un de mes vieil ami Rodney CARTER, membre du conseil d’administration et professeur d’astrophysique au campus, mais il était aussi et surtout consultant à la N.S.A.
Nous ne nous étions pas revus depuis un certain temps, et nous avions l’une de ces conversations que nous aimons tant sur la physique quantique tandis qu’il me faisait découvrir l’immense université qui faisait la fierté de S.F.

Soudain il redevint sérieux à l’approche d’un amphithéâtre, et avec un sourire au coin des lèvres me proposa d’assister à un cours.
Je n’avais pas vraiment le cœur à jouer les élèves, j’avais une tonne d’endroit où aller mais au final, je préférai encore rester en compagnie de mon vieil ami :

-« Qu’est ce que l’on a au menu today ?? »

-« C’est une conférence sur les modes d’interactions comportementaux entre hommes et femmes … de la psycho quoi … »

Dit-il d’un air moqueur sachant que je n’ai jamais été très littéraire, puis il ajouta en signe d’invitation :

« Le professeur est un ami et comme tu viens d’arriver en ville, j’imagine que t’aimerai rencontrer du monde, et en plus tu verra la tête de nos élèves…»

Et puis après, ça ne pouvait qu’être intéressant et au fond, je n’avais rien à y perdre :

« Je préfère rester discret pour l’instant en fait, mais ... OK, je te suis …
Non mais tu vois ce que tu me fait faire ^^ »

On pénétrai dans un amphithéâtre d’environ 200 places encore vide où un professeur préparait son ordinateur pour la conférence.
Lorsque nous arrivâmes au podium, Rodney s’écria d’un ton spécialement ironique :

« Salue vieille branche !
Bon Marty, j’ai un ami qui vient d’arriver en ville et il était impatient d’assister à un de tes cours, il a emménager de France juste pour y avoir droit !
Sont fou ces gaulois !
Alors François je te présente Marty, notre meilleur professeur de psycho du bahut … le seul aussi je doit dire ^^ …»

Le professeur après avoir regardé Rodney d’un air amusé, me regarda avec méfiance avant de me souhaiter la bienvenue dans son cours :

« Prenez place au fond de la salle, vous aurez une vue d’ensemble sur un vrai cours, pas un de ceux où on étudie la trajectoire de caillou ^^.
D’ailleurs j’ai demandé a quelque intervenant de passer dont une chroniqueuse du Bay Mirror, alors avec un peu de chance vous pourrez avoir quelques autographes ^^»

Nous nous sommes alors installer au fond de l’amphithéâtre où les élèves aller très bientôt arriver, nous profitâmes de se temps pour reprendre nos discussion.

« Je le taquine un peu mais c’est de loin le meilleur, ta entendu parler de Phoebe Halliwell ?
Une chroniqueuse de talent qui a pris sa retraite depuis peu, on pensai toutes les âmes solitaires de S.F. perdues à jamais en la perdant …
Et bien c’est une jeune femme, Jordan Halliwell qui à aujourd’hui pris la relève et qui d’ailleurs crève le plafond, et devine qui était son prof ? Ben Marty ! »
Dit-il en prenant un ton émérite et admirateur avant de continuer :
« D’ailleurs en parlant de Halliwell, c’est une famille bien implanté ici, le Bay Mirror compte un certain nombre de personne de leur famille, sans compter les divers coin qu’ils possèdent comme le P3, l’un des clubs les plus branchés du coin … »

Pendant qu’il me faisait l’arbre généalogique d’une famille influente de SF, ce qui ne m’intéressait pas tant que ça, je préférai tourner mon attention vers les jeunes élèves qui s’engouffrait maintenant dans la salle.
Rodney marqua alors une pause
avant de me montrer discrètement une jeune demoiselle dans la salle :

« D’ailleurs en parlant du loup, voila l’une des filles de Phoebe Halliwell, Jillian, c’est aussi l’une de nos meilleures étudiantes en psycho, a croire qu’elles ont ça dans le sang…»

Bien qu’elle semblait très absorbé par son travail, j’ai observé qu’elle avait remarqué que nous l’avions observés à son entré, et durant les premières minutes, nos regards se croisèrent plusieurs fois, elle était probablement intrigués comme tout les autres élèves de la présence d’un des membres du conseil d’administration à une conférence d’un intérêt plus que contestable pour un non-élève, et je doit avouer que la jeune femme m’intriguais, peut-être parce que Rod. m’avait parlée d’elle en premier …

Il continua alors la présentation de quelques personnes importantes a voix basse qui se trouvait dans l’amphithéâtre tandis que la conférence poursuivait désormais son cours …

[Cette conférence étant susceptible d’accueillir des intervenant extérieurs]

Jilian était en train de discuter avec des connaissances à elle mais Hélèna reconnue l'intervenant qu'elle connaissant puisque c'était un de ses anciens professeurs, elle tenait à le féliciter pour cette intervention très passionnante dont elle n'avait pas raté un fils, elle le salua et lui glissa quelques compliments !

"Professeur, j'ai trouvé votre exposé particulièrement intéressant, beaucoup d'entre ont des idées reçut sur les relations Homme/Femme mais là je pense que leur préjugés sont envolé parce que vous avez brillament montré que le sexe ne change pas si on forme une équipe qui se fait confiance !"

Professeur : "Merci Hélèna je tenais à le faire pour ne pas laisser toutes ces fausses rumeurs prendre le dessus sur la vérité qui dit que les hommes autant que les femmes ne peuvent pas se passer l'un de l'autre et heureusement sinon la vie ne pourrait pas prospèrer dans notre chère monde. Je te laisse une minute, je dois aller parler à un confrère !"

Hélèna resta là plantée comme une pauvre cloche puis aperçut un jeune homme sur l'estrade qui avait l'air d'être aussi un mordu des conférence, elle se rapprocha en slalomant entre les divers intervenants puis arriva à ses fins !

"Excusez moi mais c'est vous qui avait énoncé l'hypothèse selon laquelle les femmes seraient beaucoup moins responsables dans certains domaines mais très performante en ce qui concerne l'économie ou la politique par exemple, laissez moi vous dire que vous avez parfaitement raison. Je m'appelle Hélèna Mitchell, je suis une élève du professe Smarks et vous ?"

Lui tend la main !

François jeta un regard à la jeune Jillian alors qu’il se fit interpellé par une jeune demoiselle, il fut étonné dans la mesure où il avait passé toute la conférence au fond de la salle à discuter avec Rodney qu’elle le prenne pour un intervenant.
Toutefois il n’allait pas rater l’occasion de faire une nouvelle rencontre …
Il serra la main de la jeune demoiselle...

« AMIEL, François AMIEL,
A défaut d’avoir émis cette hypothèse, il est vrai que je soutiens la thèse selon laquelle les connexions neuronales chez l’homme et la femme sont
irrévocablement différentes, et par ce fait, les femmes et les hommes possèdent leurs domaines de prédominances comme vous le dites. »
Montrant du regard Rodney qui discutait à présent avec le professeur :
«Je suis un ami de Rodney, et il m’a proposer d’assister a un de vos cours, très intéressant …
En tout cas, ravi de faire votre connaissance.»

Il avait l'air d'en savoir beaucoup sur la psychologie ce jeune homme, Hélèna fut ravie de tomber d'accord avec un homme à propos d'un éternel problème ! Elle souria !

"Vous êtes un ami de Rodney, parfait, et bien il faut dire que les cours sontr beaucoup moins passionnant que les conférences au cours desquels nous pouvont intervenir mais ma cousine et moi, on aime bien venir ici car ce n'est pas les discussions qui manque. Pour ma part, je ne voudrais pas paraître trop imposante mais j'ai l'impression de vous avoir déjà vu quelque part, peut être au centre commercial, je suis une fan inconditionnel de shopping et je ne pense pas que ce soit une histoire de neurone tout ça !"

Sourit, elle avait l'impression de l'avoir déjà vu mais ce n'était qu'une impression, le cerveau à toujours tendance à confondre des souvenirs avec d'autres surtout en fin de journée lorsque trop d'informations sont emmagasinées d'un coup comme c'est le cas pour la majeu partie des étudiants de cette université de renommé mondiale.

"Et vous comptez peut être enseigne ici cette année ou alors seconder un des professeurs parce que ce n'est pas le travail qui doit manquer étant donné que les effectifs sont en constante croissance chaque année !"

François esquissait un sourire, probablement déconcerté par la franchise de la jeune femme, mais c’était une qualité qu’il savait apprécier.

« Je suis nouveau en ville, je viens de m’installer au {Manoir récemment construit à quelque mètres dans la rue du manoir Halliwell}...
Si vous êtes inconditionnel du shoping, peut être pourriez vous alors me conseiller quelque boutiques, je doit avouer que chez moi c’est un peu le néant … »

Lorsqu’il fut assimilé à un professeur, il ne put s’empêcher de rire car il avait, après tout presque le même age que la jeune femme …
« Non » Dit il en souriant,
« Même si j’aime apprendre, je ne suis ni diplômé de psychologie, ni pour l’enseignement.
Au contraire, Rodney me proposait d’assister au cours que je souhaiterai dans l’établissement, donc je serai peut être dans l’université, mais se sera sur le banc des élèves tout comme vous, même si je doit vous avouer que je me sens d’avantage attirer vers la physique... »

En quelque seconde, il s’était lancer dans un monologue qui lui semblait interminable, lui qui a pour habitude d’être discret et laissant toujours les autres parlé …

« Vous avez dit que vous adoreriez ces conférences vous et votre cousine …
Votre cousine aussi est en psychologie ? »

[Je m'incruste puiqu'on parle de moi lol, désolée si c'est enr retard :p]

Cela faisait quelques minutes que Jillian était entrée, elle avait remarqué le regard de deux hommes lorsqu'elle était entrée, oh elle ne s'en était pas inquietée ou étonnée, elle recevait souvent le regard des hommes mais l'un d'eux la regarda à nouveau.

Elle était alors plongée dans les paroles du professeur Marty et prenait des notes comme dans un cours. Aussi étrange soit'il on en apprennait des fois plus en conférence qu'en cours. Surtout que l'on pouvait avoir l'avis de personnes étrangères aux bans des amphithéatres.

Elle détourna la tête, se sentant comme observée, elle croisa alors le regard d'un des deux hommes, plusieurs fois, il l'intriguait pourquoi la regardait'il de cette manière? et que faisait'il avec un prof s'en était un? Peut'être était-ce tout simplement un ai. Mais pourquoi la regardait'il? Cesse donc de te poser des questions Jillian tu vois des démons partout.

Elle arquat un sourcil et se reporta sur la conférence.

"à ton avis Jill, c'est un homme ou une femme qui a soulevé cette thèse au dépard?"

Jill se tourna vers un de ses amis avec qui elle était souvent en cours, il était un peu macho sur les bords mais sympa. Ils se mirent à papoter un peu sur cette question tout en écoutant d'une oreille la voix du professeur. Mais une chose intrigua Jillian, Sa cousine, Hélèna s'était mise à discuter avec l'homme qui la fixait auparavant.. Non pas qu'elle n'ait aps remarqué sa cousine mais c'était tout de même étrange que celle-ci parle avec cet homme. Rhoo Jillian t'es la derniere des Coop tu devrais être naïve et te foutre de ces coïncidences.

Jill s'excusa auprès de son amis en stoppant la conversation et s'approcha d'Hélèna. Comme à son habitude lorsqu'elle s'imiçait dans une conversation avec quelqu'unh de sa famille elle prévenu sa cousine d'une petite pensée.

~ Coucou Hélèna! ~

Quelques pas suffirent ensuite pour les rejoindre et elle s'approcha avec un grand sourire entendant la fin d'une phrase.

"...Votre cousine aussi est en psychologie ? "

"Bonjours, Jillian Halliwell, je suis bien en psychologie."

Elle ne retira pas son sourire, aucune raison pour cela pour le moment, après tout cet homme était accompagné d'un des professeurs.

Je fut étonné de voir la jeune femme s’approché d’une manière aussi franche, et cela n’était pas pour me déplaire…
Toutefois, c’est alors que je fus scotché par cette drôle de coïncidence, la femme avec qui je parlais est la cousine de celle que j’avais remarqué depuis le début de la conférence, et de plus elles sont des Halliwell…
Je me suis dit cela comme ci cet état de fait changer quelque chose, au final, ce n’était qu’une famille parmi tant d’autre ici (^^), mais Rodney avait l’air d’apporter une certaine importance à la description de cette famille en particulier …

« Ah, vous êtes la cousine d’Helena ?
Ravi de faire votre connaissance, je m’appelle François, François AMIEL »

Avec un grand sourire en réponse a celui de la jeune femme, je lui tendis une poigné de main afin de la saluer.

En effet, j’ignorais pourquoi son regard avait croisé le mien
autant de fois le long de cette conférence, mais je faisait comme si rien
n’était.
En fait j’étais surtout heureux d’avoir fait la connaissance de deux demoiselles, qui, en regardant et analysant leurs regards, me paraissait aussi sympa d’apparence que profondément gentille, et c’est une vertu qui se fait rare …

Bon, ce n’est pas tout ça, mais avant la fin de cette
poignée de main, je vais devoir trouver de quoi relancer la discussion ^^

« Donc la psychologie est une passion de famille ? »

Hél était contente de voir arriver sa cousine qui l'avait littéralement lachée depuis la fin de la conférence pour discuter avec ses autres camarades mais elle n'était pas du genre rancunière de toute façon mis à part tout ce qui concerne les vêtements mais bon je ne vois pas ce que ça vient faire ici d'abord. Bref, Hél vit arriver sa cousine puis celle ci pris la parole afin de faire connaissance avec ce jeune homme plutot sympa en fait, il n'avait pas l'air d'être trop prétentieux, ni vulgaire ni même idiot sur les bords mais il dégageait quelque chose de mystérieux mais étant donné sa nature méfiante, Hél se dit que c'était surement encore sa paranoïa qui lui jouait des tours comme à chaque fois qu'un inconnu venait à sa rencontre et essayait d'en savoir plus sur sa vie, c'est peut être aussi pour ça qu'elle n'avait pas encore rencontré d'homme ou tout du moins pas beaucoup comme les filles de son âge qui ont déjà de l'expérience dans ce domaine, elle n'a même pas passé la cap du premier baiser c'et vous dire mais bon la compensation à savoir des pouvoirs surnaturels et une destinée hors du commun sans compté le piment des attaques démoniaques valaient bien tous les amours du monde pour elle. Lorsque François fit sa petite remarque à propos de la préponderance de la psychologie dans leur famille, elle ne pu s'empêcher d'avoir un petit sourire en regardant sa cousine puis fit une petite métaphore !

"S'il n'y avait que la psychologie en commun dans notre famille ce serait l'ennui total mais bon !"

Eclate de rire en regardant sa cousine puis redevient sérieuse !

"Je vous prie de m'excuser, après avoir passé deux heures à rester sérieuse, il fallait bien que j'évacue un peu et puis j'aime bien faire des petites blagounettes avec ma cousine, n'est-ce pas ma chère Jill !"

Regarda Jillian et lui donnant un petit coup de coude !

Je ne pus m'empêcher de sourire, en effet, voir une famille
aussi unie et à priori heureuse m’émouvais, d’autant plus qu’elles semblaient
vraiment être en or …

Je sorti ma carte de mon porte feuille en disant au deux
demoiselles :
« C’est un réel plaisir de discuter avec vous, je suis
vraiment honoré d’avoir fait votre connaissance et j’espère que … »

Mon portable se mit alors à vibrer sur une fréquence particulière, je consulter alors d’un air grave l’écran de ce dernier …
Il indiquait que la police avait repérer et pris en chasse un véhicule impliqué dans une affaire de meurtre rituel sur laquelle j’avais décider d’enquêter avec l’accord de la sûreté…

« Je suis désoler, je doit vous laissez, si vous avez
besoin de quoi que ce soit n’hésitez pas, ce sera un plaisir de vous revoir…»

Après avoir donné ma carte aux jeunes femmes, je courus après avoir jeté un regard à Rodney vers la porte la plus proche.
Je dois avouer que le fait de quitter leur compagnie me déchira le cœur car cela faisait longtemps que je n’avais pas discuter ainsi avec des personnes
d’aussi bonne compagnie, je camouflais ça par un sourire teinté de regrets …

Après avoir refermé la porte derrière moi, je me rendis compte que j’était dans un placard à balai sans le moindre accès ^^, cela ne faisait aucune différence …
Je me suis aussi tôt teleporté dans mon 4*4 qui m’attendais à l’extérieur du bâtiment, je mis le gyrophare en marche avant de démarrer à toute allure vers la position du véhicule suspect …

[Suite : Poursuite infernale]

Hélèna regarda sa cousine puis lui remit la carte que François lui avait donné, elle souria !

"Je te le laisse, il est pour toi, il est beaucoup trop philosophe à mon goût il sera parfait pour toi ma chère ! Je te laisse, je dois encore préparer un dévoir sur le devellopement de nos chères bambins pour demain et je n'ai pas encore trouvé la manière de conclure mon projet !"

Lui fait la bise et prend la direction de la maison Mitchell

Jillian trouvait cet homme très sympatique, bien qu'il dégageait quelque chose de...d'étrange, d'impossible à identifier, ce qu'elle n'appréciait guère..elle n'avait pas réelle impression d'un danger venant de sa part mais d'un secret oui..

*Oh ma vielle tu déraille, à force de te faire roussir les cheveux par une boule de feu venant de tes rencards tu deviens parano.*

Jill serra donc la main à François en lui rendant son sourire, plutôt sociable malgrès sa paranoïa hériditaire.

La remarque d'Héléna la fit sourire, elle lui fit une petite grimace en se disant qu'elle n'était pas discrète mais bon, pas de quoi fouetter u n chat aussi rit'elle avec elle. De même, elle lui redonna le coup de coude qu'elle lui avait fait avec le sourire.

"vous espérez?"

Jill se demandait ce qu'il ésperait, sa curiosité aidant, mais il n'eu el temps de lui répondre, il s'éxcusa auprès des deux cousines puis leur donna sa carte avant de partir. Jill n'eu pas le temps de dire ouf qu'Hél lui faisait la bise en lui fourrant la carte dans les mains.

"Co..comment ça pour moi? Phylosophe, mais?"

Hélèna était déjà partie vers la sortie..

"Bon courage!"

En pensant à son devoir, elle se rappella qu'elle aussi avait quelque chose à rendre dans deux jours, une petite thèse de rien du tout sur les comportements des femmes en incarceration et le changement observé lors de leur entrée en centre pénitencier. (Oui la demoiselle était centrée sur le judiciaire et entre autre le millieu pénitencier.) Elle n'en avait aps pour long mais il vallait mieux qu'elle s'y remette tant qu'elle n'avait rien à faire. Mais soudain quelque chose lui attira l'oeil, elle regarda la porte par lequel était sortit François..elle était déjà venue assez de fois ici pour savoir que c'était un placard..

*je me trompe ou il n'en est aps ressortit?*

En effet, elle avait une très bonne mémoire visuelle et cet homme n'était pas ressortit du placard..Elle s'en approcha donc et l'ouvrit, pour n'y voir personne. François avait disparu dans le placard à balais..Intriguée, elle se dirigea vers la sortie, son portable entre les mains, en train de composer le numero du cher monsieur...

Tandis que François était concentré sur sa conduite, il n'était pas en mesure de sentir son portable vibrer et son téléphone passa dès lors sur sa messagerie.

Jillian en sortant perdit l'attention de son portable pendant quelques instants voyant que certain étudiants avait les yeux rivées vers la fenêtre où un 4x4 noir aux gyrophares hurlant roulait a forte allure sur le parking universitaire pour prendre ensuite la direction du centre ville.